Ceci n'est pas un blog de recettes de cuisine.

Ceci est un blog parlant de (nombreuses) rencontres amoureuses et des divers (et nombreux eux-aussi) états d'âmes qui y sont liés.

Comment un plat de pâtes et une recette traditionnelle italienne peuvent avoir un rapport avec ma vie amoureuse (et sexuelle) ? Et pourtant, non seulement cela a un rapport mais en plus c’est représentatif, vous allez comprendre… au fur et à mesure des récits et des états d'âmes.

samedi 14 juillet 2012

Un mariage d'enfants


Mais avant tout ça, avant les plans foireux, les rencontres improbables et surtout bien avant les pâtes à la Carbonara, l’histoire commence avec une petite fille et un petit garçon dans la cour de leur école qui miment un mariage devant leurs amis. 
Bizarrement, enfant, je me suis mariée deux fois. Si mes souvenirs sont bons, la deuxième fois, je suis partie en courant avant la fin. Finalement, on invente rien... Cet épisode de mon enfance est-il lui aussi représentatif que les pâtes à la carbonara ? Un signe avant-curseur… ?

Mon premier amour de petite fille s’appelait Adam. Il a aussi été le premier garçon que j’ai embrassé, derrière le gymnase du village dans lequel j’avais grandi mais dans lequel je n’habitais plus. Ce garçon que j’avais aimé étant enfant, qui avait un nom de famille imprononçable et avec une orthographe encore plus risquée que celle de mon propre nom, que je n’avais pas vu depuis de nombreuses années et qui avait pourtant conservé mon cœur pendant toutes ces années semble-t-il.

A l’époque il n’était pas encore scellé dans de la paraphine comme dans la chanson de Linda Lemay. Il était alors encore bien réel. Comme le baiser d’Adam. derrière le gymnase. Un premier baiser caché derrière un gymnase, parlez de stéréotype. Malheureusement, ca ne sera pas le dernier !

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